La perverse narcissique Magda GOEBBELS aura trompé bien du monde et elle continue encore aujourd'hui ! Malgré les travaux publiés sur les manipulateurs par le docteur Marie-F. HIRIGOYEN en 1999 (ci-dessus) ! Jusqu'à la fin du nazisme, elle aura effectivement alterné les compositions, passant de la victime à bout de souffle faisant face dans le bunker de la mort à l'architecte SPEER le 23 ou 24 avril 1945, à une belle femme très élégante dont se souviendra longtemps l'aide de camp von LORINGHOVEN qui l'avait croisée au moment même où elle s'apprêtait à tuer ses six enfants. Comme quoi !
Désireuse de tromper autour d'elle, sur ses sentiments comme sur beaucoup d'autres choses, la recette a fonctionné ! A lire et relire le portrait cependant détaillé qu'en a fait Anja KLABUNDE, cela fonctionne encore puisque ce serait à l'en croire, elle, la victime et non tous ceux qu'elle aura sacrifiés par un manque cruel d'empathie. Je ne m'y suis pas trompé quand j'ai découvert début 2017 quel avait été le parcours de cette femme soucieuse de dissimuler quelles avaient été ses origines et ce père juif qu'elle choisira de laisser déporter à Buchenwald où il mourra sans qu'elle intervienne. C'est sûrement ce pauvre Richard FRIEDLANDER que le réalisateur VITKINE fait passer dans son film pour un Max FRIEDLANDER, qui m'aura décidé à essayer de comprendre ce qui avait bien pu se passer dans ce bunker de la mort et quelle était la réelle personnalité de celle qui n'était qu'une "Chienne du Troisième REICH" et pire, une perverse narcissique sans la moindre empathie !
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Louis PETRIAC